In memoriam


Ghislaine

Avis de décès

Hommages à Ghislaine Coutu-Vaillancourt (1941-2007)

Si vous voulez apporter votre contribution à ce recueil, déposez ici votre texte, nous l'afficherons pour vous

Si vous avez déjà remis un texte manuscrit à Pierre ou aux familles Coutu et Vaillancourt,
renvoyez-en une version au format Word pour en faciliter l'affichage


Des dons au
 
Département d'oncologie de l'Hôpital Charles Lemoyne (via La Fondation)
seront appréciés



Chers  collègues et amis de l’AQEFLS,

Au nom de son conjoint Pierre Vaillancourt, de la famille Coutu et de Marguerite Hardy, présidente de l’AQEFLS, j’ai l’immense peine de vous annoncer que Ghislaine Coutu-Vaillancourt, fondatrice de notre association, est décédée ce matin mercredi 9 mai à 8h 30.

Elle était hospitalisée depuis plusieurs jours déjà, mais elle avait expressément demandé que l’on respecte son désir de ne pas divulguer son état. Elle est partie doucement et sans souffrance.

Selon ses dernières volontés, la famille recevra les amis de Ghislaine au Centre funéraire de la Côte- des-Neiges, le samedi 19 mai de 10 h à 14 h et pour plus de détails vous pourrez consulter l’annonce de décès qui paraîtra samedi et dimanche prochains dans les quotidiens La Presse et The Gazette.

La famille demande qu’on s’abstienne d’envoyer des fleurs mais que, si on le souhaite, on fasse un don au département d’oncologie de l’hôpital Charles Lemoyne de Longueuil.

Une page de notre association est tournée et nous sommes en deuil d’une grande dame de l’enseignement du français langue seconde, laquelle aura marqué toute une génération d’enseignantes et d’enseignants du Québec.

Qu’elle repose en paix!

Geneviève Leidelinger
Responsable du comité thématique du congrès 2007 de l’AQEFLS



Merci pour vos beaux mots et votre générosité! L’Association est là grâce à Ghislaine et nous lui en sommes magnifiquement reconnaissants!
Malgré son départ, elle reste bien vivante en chacun de nous. Et la vie continue.  Et la vie est sacrée, il faut en prendre bien soin. Nous nous retrouverons le 19 mai pour lui témoigner notre grande affection. À très bientôt donc.
Merci Geneviève de tes mots envoyés à la grande famille français langue seconde!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

Marguerite Hardy
Coordonnatrice du programme UQÀM-MICC
Université du Québec à Montréal



Ghislaine,

La première image de toi c'est celle de notre première rencontre lors d'un stage de Bonjour Line; toi la formatrice,  moi l'élève. Au début, ton air sévère m'intimidait mais j'ai compris plus tard que c'était davantage de la timidité que de la froideur;  peut-être une façon de créer une distance entre la jeune prof et ses élèves  parfois plus agées qu'elle.
On sourit maintenant en pensant à cette méthode dépassée mais pour moi cette formation  a été le point de départ de mon engagement dans la voie de l'enseignement du FLS.  C'est grâce à toi, à ta manière de stimuler notre créativité par tes critiques constructives, à tes sourires encourageants que j'ai été piquée par la pédagogie des langues. Et le virus ne m'a plus quittée.

Quelques années plus tard, tu m'as demandé de me joindre à l'équipe de l'AQEFLS. Là encore, tu m'as appris, avec Pierre, ton conjoint, les bases d'un logiciel de banque de données et nous avons passé bien des soirées à travailler et à boire du café!

Que de belles années passées ensemble avec les samedis pédagogiques, les congrès, toutes ces personnes impliquées de près ou de loin qui s'efforcent sans cesse de poursuivre les objectifs de cette association que tu as mise sur pied avec l'aide de quelques idéalistes il y a bientôt 30 ans !

Le thème du 28e congrès  « Enseigner : une histoire d'amour » te ressemble et reflète une grande partie de ta vie.
Et cette histoire d'amour va se poursuivre grâce à la flamme que tu as su allumer au cœur de bien des enseignants.



Danielle Robert-Pérez (Montréal)




Ghislaine, une grande dame de la pédagogie

La première fois que j’ai rencontré Ghilslaine, c’était en 1970, il y a 37 ans. Je travaillais déjà au Collège Vanier, mais aussi, pour le SMTE, avec deux collègues, Michèle Thibault–Racine et Daniel Guay à la conception d’une émission télévisée de français L2 pour le primaire. Ghislaine était pour notre équipe une personne-ressource que nous consultions fréquemment sur la progression morphosyntaxique dans une approche structuro-globale audio-visuelle. Déjà à l’époque j’avais été fortement impressionné par ses connaissances du domaine, son sérieux, et sa capacité à nous faire partager ses savoirs.

Au cours des années qui ont suivi, nos chemins se sont croisés maintes fois lors des nombreux congrès de ACLA  et de l’AQEFLS. J’ai beaucoup travaillé avec elle dans les comités thématiques d’une douzaine de congrès. Nous étions très fiers tous les deux d’avoir créé les pré-congrès pour que des ateliers d’une journée puissent être donnés. Et même si nous ne nous voyions pas souvent, nos rapports au téléphone étaient toujours chaleureux, constructifs, efficaces. 
Je n’oublierai jamais ces longues conversations nocturnes où nous refaisions le monde. Celui de la pédagogie et l’autre.

C’est un véritable combat qu’elle a mené dans toute sa carrière pour faire avancer les choses. Je me souviens de cette fierté que nous partagions de voir année après année un nombre de plus en plus grand de conférenciers et d‘animateurs et animatrices de qualité. Sa vision et son travail acharné au fil du temps ont façonné l’AQEFLS et l’ont marquée à jamais.

Je me souviendrai de Ghislaine comme d’une infatigable militante totalement dévouée à sa cause et qui savait être à l’écoute des autres.
Sa grande humilité légendaire la tenait loin des projecteurs, mais dans l’ombre, elle était là, à travailler méticuleusement, toujours à la recherche de l’excellence et poussant les uns et les autres à se dépasser.
Nous lui devons beaucoup.

Ces deux dernières années, nous savions qu’elle n’allait pas bien et nous étions très peinés pour elle, pour Pierre et ainsi que leurs familles. Je me suis beaucoup ennuyé d’elle, de nos échanges, de sa voix feutrée, de son enthousiasme pour la discipline que nous défendions et aussi pour toutes nos discussions sur les autres choses de la vie.

Nous n’avons pas seulement perdu une grande dame de la pédagogie, mais aussi une amie dont la discrétion, la compassion et la fidélité resteront inoubliables.

Pierre, toi, son indéfectible compagnon qui as eu la chance de vivre auprès de cette belle personne et qui la pleure aujourd’hui, reçois mes bien sincères condoléances et transmets-les pour moi à vos familles.

Marcel Pérez,
fier d’avoir remporté en 1989 un prix qui porte le nom de Ghislaine Coutu-Vaillancourt.
(Montréal)

   

Ne sachant pas que Ghislaine était malade, j’ai été très surprise et triste d’appendre son décès. Son départ va laisser un grand vide dans le domaine de l’enseignement du français, langue seconde, pour lequel elle a tant donné.

Suzanne Belzil
   


Tous gardent de Ghislaine le souvenir d’une femme profondément engagée dans le développement du monde éducatif québécois.
Elle a d’ailleurs beaucoup participé à son rayonnement.

De la part des collègues de la Direction de la formation de jeunes du Ministère de l’Éducation, tant de Québec que de Montréal.
   


Le départ de Ghislaine est une lourde perte – Je me souviendrai de notre dernière rencontre et de son regard LUMINEUX.

Louise Dumais
   


Comme tant d’autres personnes, j’ai eu l’occasion de côtoyer Ghislaine sur le plan professionnel. Nous avons travaillé de façon plus étroite alors que nous étions au ministère de l’Éducation. Ghislaine a toujours été une inspiration et un modèle sur le plan professionnel. Sa compétence, sa passion, son engagement et son acharnement ont contribué à faire évoluer le dossier du français langue seconde.

Anna-Maria Folco
   


Ghislaine était une femme admirable. Elle nous manquera énormément.

Martine Delsemme
   


Ghislaine a toujours été, pour moi, une collègue hors pair. Je l’aimais comme une amie et comme une sœur. Elle était généreuse, sincère, loyale et sans aucune prétention. Pendant les années que nous avons travaillé ensemble il y a toujours eu une belle complicité et beaucoup de plaisir.

Ghislaine rayonnait dans le monde du français, langue seconde, au Québec et au Canada. Elle était connue, aimée et respectée. Comme présidente de l’AQEFLS elle a su réunir les enseignants francophones, qui, à certains moments, se sentaient isolés dans les écoles de langue anglaise. Elle leur a donné une présence dans le monde de l’éducation.

Sa simplicité, sa douceur, ses connaissances et son respect des autres ne sont pas oubliés par nous qui avons eu la chance et le plaisir de la connaître. Elle me manque déjà.

Elaine Freeland.
   


Pourquoi si vite? Pourquoi si tôt? Pourquoi elle? Il n’y a pas de réponse à ces questions que nous nous posons tous! Rien qu’un grand vide, une profonde tristesse et un sentiment d’impuissance devant la cruauté du destin.

Je garderai de Ghislaine le souvenir d’une collègue hors pair, d’un leader qui a toujours su insuffler à ses troupes le désir de se dépasser. Sa rigueur dans le travail, son perfectionnisme étaient un exemple pour moi. Mais je garde aussi le souvenir d’une amie chaleureuse, délicate, attentionnée qui est partie aussi discrètement qu’elle a vécue, sans faire de bruit, sans déranger. Tu me disais, Pierre, qu’elle avait tout prévu…. Incroyable quand même, mais tellement « elle ».

Christiane Rorive.
   


Madame  Silvia Faitelson-Weiser, directrice à l’École de langue, me demande de vous faire parvenir le message suivant à la famille de Mme Ghislaine Coutu-Vaillancourt.

Madame,

Je viens d’apprendre le décès de Mme Ghislaine Coutu-Vaillancourt, fondatrice de l’AQEFLS.

En mon nom personnel et en notre nom à tous, j'exprime ici ma profonde sympathie à la famille et l'assure que nous nous associons tous à leur peine.



 Cette nouvelle m'attriste profondément, et je suis sûre que l'AQEFLS, tout comme moi, se sent orpheline. J'avais énormément de respect et d'estime pour Ghislaine, qui demeurera une femme exceptionnelle. Je ressens son décès comme une immense perte.


Hélène Knoerr
Professeure agrégée/ Associate Professor
Institut des langues secondes/ Second Language Institute
Université d'Ottawa/ University of Ottawa
600 King Edward, Ottawa, On K1N6N5

       


C’est avec beaucoup de peine que j’ai appris le décès de Ghislaine. Elle a été plus qu’une professeure pour moi, elle était un modèle d’énergie et de détermination. Elle le restera.

Claire Desvignes

   


Je suis désolé d’apprendre cette triste nouvelle, mais je te remercie de m’en avoir fait part.
Je garde un excellent souvenir de cette femme douce et infatigable.

Léon-Gérald Ferland
Directeur
Service de formation continue/
UQAM en région métropolitaine
 Université du Québec à Montréal

   


Comme c'est profondément triste de savoir que Ghislaine nous a quittés... J'ai pensé à partager cette pénible nouvelle auprès de certaines personnes que je connais et qui ont apprécié tout le travail que Ghislaine a accompli. Si chacun ajoute des noms à ta liste originale, on devrait pouvoir rassembler beaucoup de personnes pour lui rendre hommage...
 
Je suis bien peiné de savoir qu'elle n'aura pas profité longtemps de sa retraite. Je garde et garderai longtemps en moi tous les heureux souvenirs que l'on aura partagés.
 
Je t'embrasse et je t'envoie un peu de réconfort, du moins je l'espère. Je préfère te quitter car je pleure et ne veux pas m'apitoyer sur moi-même...
 
Guy Marchand
 
   



Merci Geneviève d'avoir pris le temps de nous annoncer le départ de Ghislaine. Je pense que nous partageons tous la peine de son départ, ô combien appréhendé !


Carlos Carmona

   


Mes plus sincères condoléances à tous ceux et celles qui, parmi vous, vivent ce deuil.

Je suis évidemment d’accord que l’AQEFLS fasse un don de 500$

Robert Mathe



Bonjour Geneviève,

Je veux te donner mes condoléances les plus sincères. Je sais que Mme Coutu-Vaillancourt était une grande amie pour toi.

Sylvia Kennedy



Ma collègue Christine Pérusset m’a annoncé la triste nouvelle ce matin. Ghislaine m’a été d’un grand secours lorsque j’ai débuté dans la carrière. Elle m’avait fait l’insigne honneur de faire partie pendant 3 ans de l’équipe de formation pour « Bonjour Line ».Si j’ai obtenu un congé avec solde de la commission scolaire en 1973 pour me permettre de retourner aux études, je le dois à Ghislaine. Je suis triste pour Pierre  qui est arrivé à un moment de sa vie où il aurait pu vivre d’heureux moments avec Ghislaine. La vie est parfois très cruelle.
Merci , Geneviève, de m’avoir informée.

Monique Tremblay



 
MESSAGES RECUEILLIS SUR LE SITE WEB DE THE GAZETTE :



Dear Pierre,
 I was so sorry to hear about Ghislaine's passing. I worked with her at the  Montreal Catholic School Commission. Ghislaine was a great and tireless  worker. She made a wonderful contribution to the teaching of French in our  schools.
Pierre, I don't  know if you remember, but you and Ghislaine came with me when I bought my  first computer-Apple IIe. It was Ghislaine who pushed and encouraged me to  get involved with computers. When I said I didn't have time, she didn't  give up. She kept coming after me until I gave in and started taking lessons  at the Computer Centre. Thanks to Ghislaine, I now have my own computer  centre and am working on many projects and also helping "older"  adults to become computer literate.
Thank you Ghislaine and Pierre
 
June Wilkins (Montreal, QC)



I was very saddened to learn of the passing of my  favourite teacher and early mentor, my dear "Mlle Coutu". I was  privileged to have been in her grade 5 class at St. Antonin grade school of  the CECM in 1964.Throughout that year, she instilled in me a strong sense  of ambition and zeal for learning and achievement. She helped rescue my  self-confidence which had been terribly shaken by my father's premature  death that year. Simply put, I have wonderful and inspiring memories of the  crossing of our paths. She made a "real" and truly positive difference  in my life. I offer her husband and family my deepest sympathy and prayers.
 
John Coleman (Montreal, QC)



It was with great regret and sadness that I read  the news of the death of Ghislaine Coutu-Vaillancourt. I send my condolences  to Pierre, her family and friends. I worked with Ghislaine at the head  office of the English Sector,of the Montreal Catholic School Commission for  many years. She was an excellent pedagogical consultant in both French as a  Second Language, and Computer Science. She was a tireless worker, very  imaginative, and was a joy to work with. The teachers and students of the  English Sector were the direct beneficiaries of her talents and  professional efforts.
 May she rest in the peace she so deserved. Amen.
 
Sylvia Chesterman (Passfield, Hampshire, U.K.)
 


My sincere sympathies, Pierre. [We met when you gave computer courses to MCSC principals] I have good memories of working with Ghislaine  especially her workshops. I was touched that she attended my retirement  party some 14 years ago. I am sorry that I will be unable to attend the  service as I am in New Brunswick for a few more weeks.
Sachez que mes pensées sont avec vous, Pierre, ainsi  qu'avec ses proches.
 
Richard Murphy (St.Adolphe d'Howard, QC)




Ghislaine was a hard worker, very devoted to her  subject area. As a consultant, I enjoyed working with her. She will be  remembered for all the students she affected tremendously over the years.  My deepest condolences to her family and friends.
My prayers are extended  to her family members. May she rest in peace. Amen.
 
Olga Hrycak (Montreal,  QC)



I remember Ghislaine for her work in promoting the  teaching of French in the English Sector of the CECM in the 70's.
A great  person. May she rest in peace.
 
Winnie Nowak-Wyzykowski (Oakville, ON)



MESSAGES REÇUS À PARTIR DU 31 MAI :



I served on the Advisory Board for English Education at the Ministry of Education with Ghislaine  for several years.  She was a dedicated member of the board, contributing of her wealth of knowledge and expertise. 
She will be remembered with fondness by all who worked with her.  My deepest sympathies to the families and friends.  You have lost a wonderful woman.  May you all be spared further sorrow.

Riva Heft Hecht,  (Montreal,  QC)


Quelle belle idée d’offrir à ceux qui le veulent un endroit où ils peuvent rendre hommage à Ghislaine. Je l’apprécie d’autant plus que je n’étais pas au pays lorsqu’elle nous a quittés. J’avais pu, grâce à la complicité de Pierre, la voir quelques jours avant mon départ à la fin avril. Je me doutais bien que c’était, fort probablement, la dernière fois. Malgré la faiblesse physique qui augmentait sans cesse, la force de caractère de Ghislaine était toujours là et son sourire toujours aussi franc.
Comme beaucoup d’enseignants, c’est en suivant un cours de formation «Bonjour Line» que j’ai fait sa connaissance. Qui aurait cru alors que nous jouerions au golf ensemble une fois à la retraite? Certainement pas moi. Ghislaine m’impressionnait beaucoup par son sérieux, ses connaissances, ses capacités d’analyser les situations. Ce n’est que plus tard, que j’ai découvert chez elle son côté plus ludique.
C’est grâce à Ghislaine, et indirectement à Pierre, que je dois mon intérêt pour l’informatique. Toujours prête à aider ses enseignants et enseignantes à se perfectionner, elle réussissait à trouver des fonds pour que ceux-ci soient plus à même de former et éduquer leurs élèves. Son souci d’aider ceux qui étaient sur le terrain, et pas seulement ceux de l’île de Montréal mais de partout au Québec, ceux du primaire comme ceux de l’éducation aux adultes, l’ont poussé à former, avec une équipe, notre actuelle AQEFLS. Jamais elle n’a couru après les honneurs. Jamais elle ne s’est imposée ou mise de l’avant. Je n’étais pas là quand on lui a proposé de donner son nom à un prix, mais je soupçonne qu’elle a accepté avec joie certainement, mais aussi avec discrétion.
Au cours des dernières années, j’ai aussi appris à la connaître au plan plus personnel. Cette femme extraordinaire, d’une grande sensibilité qu’elle ne montrait pas toujours, a continué à m’impressionner par sa volonté de vivre l’instant présent, par sa générosité pour ses proches, par sa combativité.
Merci Ghislaine pour tout ce que tu m’as apporté, à moi mais aussi à tous ceux qui t’ont côtoyée. Merci pour le temps que tu as mis sans compter pour l’AQEFLS et ses membres. Merci pour tous les enseignants et enseignantes de la CÉCM que tu as aidés à former et à se perfectionner.

Denyse Payette


Je tiens à rendre hommage à Ghislaine, je l'ai connue à l'été 1970 lors d'un stage du CREDIF à Montréal.
Nous sommes restés collègues et amis pour plus de 35 ans.
Elle a toujours été présente dans ma vie d'enseignant et j'ai toujours été inspiré par sa force de travail.
Nous avons eu de grands moments ensemble grâce à l'AQEFLS et son départ m'a beaucoup affecté.
Marta, ma conjointe et moi n'oublierons jamais que c'est grâce à elle que nos 25 ans de mariage furent célébrés avec famille et amis.
Ghislaine tu mérites tous les éloges et surtout le repos.
 
Robert G. Bourassa


Petite grande femme, tu ne m’as pas quittée depuis que tu es partie. Paris 2000, comme on s’est éclatées! Tu avais laissé tomber tes barrières. Tu vivais pleinement, comme tu le faisais sans doute d’habitude avec tes proches, mais c’était la première fois que tu me le laissais voir.
                               
Montréal, août 2006, la dernière fois, on s’en doutait mais on a parlé de la vie, de l’amour, on a ri et on s’est laissées au coin de ta rue. Merci du cadeau que tu m’as fait ce jour-là.
 
Raymonde Coulombe


Je suis professeur de français en Algérie, je n'ai pas pu m'empêcher de dire merci à la défunte et souhaiter beaucoup de courage à ses proches. ELLE s'est consumée en éclairant les autres et Dieu seul sait combien ELLE a illuminé de personnes.
C'est vrai "enseigner est une histoire d'amour", partager la douleur l'est aussi.

Merci Ghislaine. Merci.

Abdelaziz Saïdi




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